Et voici le très attendu top 3 des articles les plus lus de l’année 2025 !
N°1 – Accord de gouvernement fédéral (partie 1/3) : « les pauvres sont des ânes »
Un article de la rédaction de MaTribune.be, publié le 13 juin 2025.
Comment s’adresser aux pauvres pour leur imposer la nécessité de réformes drastiques ? Comment les cinq partis au pouvoir au sein du Gouvernement Arizona (N-VA, MR, Les Engagés, Vooruit et CD&V) considèrent-ils leur rapport aux allocataires sociaux ? Quelle image pourra bien convaincre ceux-ci qu’ils doivent être « responsabilisés » et « intégrés » à leur devoir de travailleur ? Voici quelques questions émergeant d’une analyse du discours de l’Accord de coalition fédérale 2025-2029.
La suite, c’est ici : https://matribune.be/les-pauvres-sont-des-anes-partie-1-3-federalisme-de-reforme-renforce-et-paternalisme-neoliberal/
N°2 – Bruno Colmant : « Je suis un produit de l’État social »
Un entretien réalisé par Daniel Nokin, publié le 1er septembre 2025.
Mais quelle mouche a piqué Bruno Colmant ? Le gourou belge de la finance, ex-administrateur d’ING, ex-patron de la Bourse de Bruxelles, docteur en économie, écrivain, conférencier… sans oublier son passage comme directeur de cabinet auprès du ministre belge des Finances, Didier Reynders… Bref, Bruno Colmant, c’est le libéral-type. Le type qui murmure des conseils fiscaux à l’oreille des plus riches… Le type avec lequel, à MaTribune.be, on n’a pas trop envie de discuter… Et puis, boum patatras, voilà que Bruno Colmant, dans ses vieux jours, décide de faire volteface. Désormais, il fustige le néolibéralisme, source de tous les maux… À MaTribune.be, on a voulu comprendre… et il a accepté de nous expliquer. Voilà le résumé de cette rencontre atypique… qui pique parfois…
La suite, c’est ici : https://matribune.be/bruno-colmant-je-suis-un-produit-de-letat-social/
N°3 – Forme olympique mais espérance de vie amputée : le paradoxe des pompiers bruxellois
Un article de Gregory Schwandtner, publié le 29 mai 2025.
Sélectionnés comme des athlètes, soumis à des contrôles physiques réguliers et équipés de matériel dernier cri, les 1.100 pompiers-ambulanciers de la Région de Bruxelles-Capitale devraient, en théorie, battre des records de longévité. L’exposition quotidienne aux fumées d’incendie, aujourd’hui saturées de nanoparticules, de métaux lourds et de composés organiques volatils, les prive pourtant de sept à huit années de vie par rapport au reste de la population. Plongée dans un métier en surchauffe qui, tout en arrachant les autres au danger, lutte pour ne pas se consumer lui-même.
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